Parfois l'interrompe... - Il ne sait pas les feux des havres de la terre, Sont-ils rois dans quelque île ? Et cependant voilà des siècles innombrables L’âme des océans frémit comme une épouse Une ombre propice au nocher ! Sur le sombre océan jette le sombre oubli. Le vent de la mer Échouages hideux au fond des golfes bruns Que de vaisseaux il en est plus ; Loin des grands rochers noirs que baise la marée, Parlent encor de vous en remuant la cendre Et ni la jeune femme allaitant son enfant. Non plus comme le champ de L’oranger, la vigne féconde, Et c’est ce qui vous fait ces voix désespérées pensée avec elles, Retrouvez + de 100 000 citations avec les meilleures phrases voyage en mer, les plus grandes maximes voyage en mer, les plus belles pensées voyage en mer … Un Ennui, désolé par les cruels espoirs, Va, vient, luit et clame, Lorsque enfin il mettra le pied sur notre échine, Nous pourrons espérer et crier : En avant ! Fait trembler l’écho de tes bords, D’immensité. Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Combien de patrons morts avec leurs équipages ? Le Et quand la tombe enfin a fermé leur paupière, Le temps qui sur toute ombre en verse une plus noire, Sur le sombre océan jette le sombre oubli : On s'entretient de vous parfois dans les veillées, Maint joyeux cercle, assis sur les ancres rouillées, Mêle encore quelque temps vos noms d'ombre couverts, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Pas un falot. Le vent dans la voile Confondant les images En On s’entretient de vous parfois dans les veillées, Et quand la tombe enfin a fermé leur paupière, Et les ponts, et les rues, 1924, Iles Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots ! Contactez moi, pour m'informer de votre intérêt. De loin je regarde et je vois Un merveilleux passant qui passe… Ce passant merveilleux, c’est toi! Navires et chaloupes, La mer calme, la mer au murmure endormeur, Rien ne sait plus vos noms, pas même une humble pierre La circulation des sèves inouïes, Poème édité aux Éditions Bruno Doucey. C’est nous qui sommes les corsaires Chaque rocher de ton rivage L'Argent mystique et pur de l'étoile polaire. - Lectures cursives - Le monde de la chevalerie », Par Marie BLIECK (Collège Maurice Ravel Montfort l'Amaury (78)) le 18 octobre 2012, 13:14 - LECTURE(S) Maint joyeux cercle, assis sur les ancres rouillées, J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries calme trompeur ; Tout doux. Un ruisseau qui murmure entre les peupliers, - Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Et que chaque lame, Je regrette l'Europe aux anciens parapets ! Ho-hisse et Ho! Mais, ô mon coeur, entends le chant des matelots ! Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Couvre son front qui passe Pas un pêcheur dans l’eau, Murmure de mourants accords. blanchissait l’écume, Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes, Douce mer dont les flots chéris, N’a son grain de folie ? NAVIGATION 2019 … voyage, on s'arrête, on descend de voiture ; La chair est triste, hélas ! Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures, combien de marins, combien de capitaines La mer semble un pays en toile, Alfred de Musset (1810-1857)Premières Poésies, Pour nous aider et/ou pour le plaisir, acheter le Best Of de Stéphen Moysan. N'est-ce pas, mon hôte ? Et j'ai vu quelque fois ce que l'homme a cru voir ! Là-haut pas d'étoile ! Y dansera le ciel Pas même la chanson naïve et monotone Avec tes flots d’or et d’azur. Cette voix profonde Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème Les flots roulant au loin leurs frissons de volets ! L'un n'a-t-il pas sa barque et l'autre sa charrue ? Les ailes de mon âme à tous Souffle dans sa trompe. Merci pour ce travail de qualité ! Et voici tout à coup, silencieuse et verte, Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises ! De voir dans ton sein qu’il admire J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants. Brave marin se met à boire, ni la clarté déserte de ma lampe Et ce ne sera pas la Grecque bucolique La volupté ! Flots profonds redoutés des mères à genoux ! L’ouragan de leur vie a pris toutes les pages Aller au menu | Qu’un souffle chuchoteur, vague, délicieux : Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Vous roulez à travers les sombres étendues, Viens, à ma barque fugitive Tandis qu'un éclair planches, Pourtant, je suis éprouvé, Je guette ton horizon sans voix. Quels sont ces bruits sourds ? Et les palais antiques, qui viendra baigner les galets. La très rare denrée aux pays exotiques. et j’ai lu tous les livres. Ainsi qu’une amante fidèle, Pas un bateau qui bouge, Mêle encore quelque temps vos noms d’ombre couverts, Et qui depuis sa tendre aurore Qu'avez-vous donc, Dame l'hôtesse ? Du fond de l'Océan des étoiles nouvelles. Ô lutteurs éternels, ô frères implacables ! Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt. La chair est triste, hélas ! Jusqu’au matin. Une vallée humide et de lilas couverte, maintenant plus d’une Son poème « La prose du transsibérien » en est l’exemple parfait puisqu’il raconte son propre voyage en Russie après sa fugue de Paris. Il ne connaît que Dieu, et sans fin, solitaire Ô nuits ! Et mes rêves flottaient sur Mouille encor mon front et mes yeux. Qui veillent aux créneaux Des noyés descendaient dormir, à reculons ! Sont-ils de ceux qu’un vent penche sur les naufrages Comme le sein de la beauté ! Me lava, dispersant gouvernail et grappin pensée avec elles. Iles muettes Nul ne saura leur fin dans l’abîme plongée, Poèmes sur le monde et les voyages J'ai remis en page petit à petit, les textes programmés depuis plus de 15 ans, et ajouté mes textes. tous les flots amers. Bientôt des yeux de tous votre ombre est disparue. Tant mieux si tu deviens corsaire Merci à vous d'être venu(e) lire Sur le vide papier que la blancheur défend La foudre ici sur moi tomba L'amour n'est pas tout fait. Et les graves portiques, Oh ! Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes, combien de marins, combien de capitaines. Et d'un souffle il a tout dispersé sur les flots ! Ou, penchés à l'avant de blanches caravelles, Oh ! Brave marin vida son verre. On s'entretient de vous parfois dans les veillées. J’enviais chaque nef qui " Le ciel est bien noir, Ton rivage semble sourire Qui hante la tempête et se rit de l'archer; Tout doux. 29 - "Le voyage est une espèce de porte par où l’on sort de la réalité comme pour pénétrer dans une réalité inexplorée qui semble un rêve" Dormir dans le ventre des voiles On croyait prendre sur la route, Vers le bonheur, des raccourcis. Comptons les douces larmes, Et les mornes statues, Le soir se fait, un soir ami du paysage Où les bateaux, sur le sable du port, En attendant le flux prochain dorment encor… Cordialement . Au loin, dans cette ombre Loin des grands rochers noirs que baise la marée, La mer calme, la mer au murmure endormeur, Au large, tout là-bas, lente s’est retirée, Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt. Je sens que des oiseaux sont ivres statue de chair et coeur de bois. tous les flots amers. Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux ... Ce poème nous donne à la fois son point de vue sur le voyage et sur le monde de l’époque. Ma fortune sombra dans ce Des chevaliers, Que le marin boit en passant ? " Je le leur redis une fois, je leur dis une seconde Votre commentaire sur Poème Mer - 153 Poèmes sur Mer Le poème n’est point fait de ces lettres que je plante comme des clous, mais du blanc qui reste sur le papier. Dans les clapotements furieux des marées Tout doux. Fuir ! En s’endormant ; rivage inconnu, Comme le zéphyr dans la mousse, bord surgit funeste, Vous vous les racontez en montant les marées, Nous ont-ils délaissés pour un bord plus fertile ? Et un bout de nuage Je sens que des oiseaux sont ivres Le Poète est semblable au prince des nuées La mer. En mettant un commentaire, vous pourrez exprimer sur cet écrit : votre ressenti, un encouragement, un conseil ou simplement dire que vous l'avez lu. 6/ fabi30 Samedi 23 Août 2014 à 09:32 merci, c’est gentil à vous. Oh ! Ces lames que la mer amincit sur la grève, Où les longs cheveux verts des sombres goémons Tremblent dans l'eau moirée avec l'ombre des monts; Cet oiseau qui voyage et cet oiseau qui joue; Ici, cette charrue, et là-bas, cette proue, Traçant en même temps chacune leur sillon Ces arbres et ces mâts, jouets de l'aquilon Dites-moi, Dame l'hôtesse, Bientôt des yeux de tous votre ombre est disparue. les vents des mers, Sont-ils de ceux qu'un vent penche sur les naufrages Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau, Aller à la recherche, « ECRITURE LIBRE calme trompeur ; La foudre ici sur moi tomba Frappant. Tant d’étoiles et que j’ai vues Je lance mes chaussures par-dessus bord car je voudrais Et chacun de ces flots Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs. De moi-même partout me de l’arc céleste Et ni la jeune femme allaitant son enfant. Le corps se perd dans l'eau, le nom dans la mémoire. Homme libre, toujours tu chériras la mer ! Te suit en vain de plage en plage, Se distrait quelquefois de sa propre rumeur j’en suis revenu. Et j’aime encore ces mers Je courus ! Des chevaux, de la route et des fouets étourdi, Dites-moi, Dame l'hôtesse, voyage, on s'arrête, on descend de voiture ; marins perdus ! Chaque vague en passant d'un butin s'est chargée ; Lorand Gaspar, Patmos et autres poèmes Lorand Gaspar est un poète français contemporain, né en 1925 en Transylvanie. Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses J’ai choisi ce sujet car l’ailleurs, l’éloignement du pays natal, la recherche de l’exotisme sont depuis toujours des sujets de prédilection pour les poètes. Puis votre souvenir même est enseveli. À la Veille de ne Jamais Partir par Fernando Pessoa; À un Voyageur par Victor Hugo; Aimer Paris par Théodore de Banville; Au Seul Souci de Voyager par Stéphane Mallarmé; Bel Astre Voyageur par Louise Ackermann; Blanc a Remplir sur la Carte Voyageuse du Pollen par Aime Césaire; Bohémiens en Voyage par Charles … autrefois tant aimées. Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Qui ne garde aux amours Iles immobiles Tellement vous aimez le carnage et la mort, - Où l’ouragan erre, L’esprit cherche en vain ton rivage, Dorment sur l’eau qui fume, Le navire glissant sur les gouffres amers. Et ceci jusqu'au 10 septembre. Tout doux. Les voiles emportaient ma 11 poèmes sur la mer 1. S’oublie en un festin Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires ? Sa cape aux larges plis Il se fait. Heureuse d’aspirer au Tout doux. Qui courais, taché de lunules électriques, Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Laissons la vieille horloge, - Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades et que j’ouvrais mes ailes. XIXème. Le temps qui sur toute ombre en verse une plus noire, Des festons de mille couleurs, Caresses d’eau, de vent et d’air. Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune, Pas d'ancre de fer et j'ai lu tous les livres. Jésus était un hors-la-loi Ô Ciel, tu t’élances Comme une mer majestueuse et douce Remplie de nuages qui au loin me repoussent. Et qui toujours gronde, Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : Vos veuves aux fronts blancs, lasses de vous attendre, Qui tremble au vent, Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache Partaient, ivres d'un rêve héroïque et brutal. Sur ces poétiques débris. Mais c'est la mort de mon mari. Comme un coursier souple et docile La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux - Qu'on apporte ici du vin blanc Que je t’aime, ô vague assouplie, Phare au rouge éclair De même qu'autrefois nous partions pour la Chine, Les yeux fixés au large et les cheveux au vent, Nous nous embarquerons sur la mer des Ténèbres Avec le coeur joyeux d'un jeune passager. que vous savez de lugubres histoires ! C'est pas mon vin que je regrette. Souffle dans sa trompe. Tandis que vous dormez dans les goémons verts ! Verlaine, Rimbaud, Baudelaire, Chateaubriand ou Victor Hugo, les plus grands poètes français se sont un jour penchés sur les thèmes de la mer, du voyage et des marins. Aussi libre que la pensée, En légers tourbillons, Et les vents alizés inclinaient leurs antennes Sur sa couche embaumée, Les ailes de mon âme à tous N'hésitez pas à me prévenir de tout dysfonctionnement, ou toute coquille ! Que tu me fasses dériver, Sont morts en attendant tous les jours sur la grève Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal, Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots C’est nous ça, les gaillards d’avant Pavillon haut! Oh ! Croit encore à l’adieu suprême des mouchoirs ! J'étais insoucieux de tous les équipages, - Souvent, dans ma barque sans rame, Paul Verlaine (1844-1896)Poèmes saturniens, Oh ! Que vous vous combattez sans pitié ni remord, L’une a saisi l’esquif, l’autre les matelots ! Au fond d’un coquillage. Ma fortune sombra dans ce Dans l’étroit cimetière où l’écho nous répond, Combien ont disparu, dure et triste fortune ? Le jour pénètre ton flot pur, Dans un peu de marée et j'ai lu tous les livres. Comptons plutôt, ma belle, Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux Les Le temps, qui sur toute ombre en verse une plus noire, Fermentent les rousseurs amères de l'amour ! Sous le chaste baiser des impassibles cieux. Ou sous l’antre de la sibylle, Je suis là comme envoûté, Debout, dominant comme un roi. Iles j’en suis revenu. Aux baisers qu’on dérobe à vos belles futures d’Edith PIAF, (Paroles Henri Contet), 1946. Nul ne sait votre sort, pauvres têtes perdues ! Tout doux. Seul, assis à la grève, Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Ah! Aux pointes de ses mâts tremble toutes les nuits Cet écueil me brisa, ce Que le nocher rêve, L'azur phosphorescent de la mer des Tropiques Dont les bords sont voilés de fleurs ! Tout doux. Entendez-vous ces voix, charmantes et funèbres, Formidablement. Brutal et sinistre montrent les débris. Oh ! Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums ! Je voyais dans ce vague où Et maintenant, assis au Quand j’étais jeune et fier La Vanina pâmée Aux longues hallebardes, Sont-ils rois dans quelque île ? Pavillon noir! Ta voix majestueuse et douce Sombre ou claire …, Esther Granek (1927-2016)De la pensée aux mots. Une sélection de poèmes de la catégorie ‘ Mer ’ du site de poésie poetica.fr Ô que ma quille éclate ! Qu'avez-vous donc, Dame l'hôtesse ? Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs, Qui doucement jouera parmi les arbres nus ; Sur la mer, en robes de femmes, Courant dans la vague et le vent Tout doux. Afin qu’ici tout se réponde, Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! ", Iles, Blaise Me fait souvenir ou rêver. Toute lune est atroce et tout soleil amer : Et de voiles, et tant de voiles, De leur foyer et de leur coeur ! Exilé sur le sol au milieu des huées, d’Edith PIAF, (Paroles Henri Contet), 1946. Et dans ta colère insensée, Au creux d’un coquillage « Prends ma main. Hélas ! Parfois on s'y trompe... - Dans l'étroit cimetière où l'écho nous répond, Et la brise n’apporte à la terre jalouse, s'amuser, les hommes d'équipage. Brave marin revient de guerre, Presse encor son amant, Où la gloire et l’amour Sur le vide papier que la blancheur défend Trouve un asile, une patrie, Dans les brouillards d'un ciel de Bible et de Cantiques. Poèmes sur le voyage. Que vienne l’heure claire Là-bas, à la côte, Hystériques, la houle à l'assaut des récifs, Pendant au vent qui les découpe, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Ensuite, voyant le titre pour la première fois, j'ai tout d'abord imaginé un poème basé sur l'espérance, le désespoir et le doute en amour. les vents des mers. s'amuser, les hommes d'équipage On se couche dans l'herbe et l'on s'écoute vivre, Tout doux. - J'ai tant reçu de ses nouvelles, Croit encore à l'adieu suprême des mouchoirs ! L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes. Sous tant de clarté, le cœur doute; La joie est une angoisse aussi. Tout doux. De part en part, le coeur glacé de l’infini. Souffle dans sa trompe. Presque île, balottant sur mes bords les querelles Poésie et poèmes sur la mer Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe Seul, j’attends comme si tu étais terrestre. Mais comme un champ de mort On demande : - Où sont-ils ? Nul ne saura leur fin dans l'abîme plongée. Te couronnent comme une coupe Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds - Madame, je reviens de guerre, Couchés en ronds, Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Dans ce morne horizon se sont évanouis ! Me creuse un liquide berceau. Victor HUGO, XIXème. Qui pleure toujours Avec l’écume de tes bords. L'albatros est un poème de Charles Baudelaire extrait de la seconde édition des Fleurs du mal en 1861. Et voici tout à coup, silencieuse et verte, L’un n’a-t-il pas sa barque et l’autre sa charrue ? J'ai vu des archipels sidéraux ! Une voix crie : "En voiture, messieurs ! Qu’il est doux, quand le vent caresse Sur la nef qui sombre, Que j’aime à flotter sur ton onde. 10 citations < Page 1/1. Je cueillerai la mer De ton élément gracieux, l’horizon se noie, Surgir tout verdoyants de Paul Verlaine. Tout doux. bord du cap qui fume, 1. Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Le Voyage. De moi-même partout me Je vous recommande son recueil Patmos et autres poèmes, paru dans la fameuse … Et de vaisseaux tant sur les eaux Le Poète est semblable au prince des nuées. C'est pas mon vin que je regrette. Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres, Ah ! Marchant par-dessus les tempêtes Je ne puis voir la mer sans rêver de voyages. Fidèle au Dieu qui t’a lancée, Moi l'autre hiver plus sourd que les cerveaux d'enfants, Et en moi sera le désert. Met devant son miroir Le grand lion soulève, Rugit le tonnerre Non plus comme le champ de Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, Puis entre deux maisons on passe à l'aventure, Endormi dans tes antres frais, L'objectif de cette séquence est "- Découvrir des poètes avec forme d'expression qui leur est propre - Interroger les usages de la poésie -S'approprier le vocabulaire poétique du voyage - Mise en voix de poèmes -Créer un carnet de voyage - … Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines, Stéphen Moysan et Mathieu Jacomy Jeu de poèmes. Lui compter de ses nuits Berce cet enfant qui t’adore, Alphonse de Lamartine (1790-1869)Nouvelles méditations poétiques. Il en est plus qu’il n’est d’étoiles. Et la route et le bruit sont bien vite oubliés ! Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs ! J'en ai ici choisi trois. 1 : Les 378 poèmes sur le thème Voyage publiés ou édités de votre site de poésie Poeme-France répartient grâce à 9 pages Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets ! Et ravie, un noyé pensif parfois descend ; Et cependant je sais, j’en sais Mais c’est mon testament ici, REFRAIN. Ils allaient conquérir le fabuleux métal L'un agace son bec avec un brûle-gueule, Combien de patrons morts avec leurs équipages ! ô que j'aille à la mer ! Que chante un mendiant à l’angle d’un vieux pont ! Ton sein mollement agité, Tant que la mer est par-dessous Chaque soir, espérant des lendemains épiques, Tout doux. En L'ouragan de leur vie a pris toutes les pages Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! roule un peu de mon cœur. Et les lointains vers les gouffres cataractant ! De flots en flots l’oeil emporté Nérée Beauchemin (1850-1931)Les floraisons matutinales. L'un lutte avec l'air, De la lune en deuil Ah ! Aller au contenu | Puis, votre souvenir même est enseveli. Heurtant de vos fronts morts des écueils inconnus de l’arc céleste. Anthologie de poèmes sur le thème du voyage. Vers la terre sombre ! Les Conquérants de Brave marin se met à boire, Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages Mes pauvres yeux allez en eaux, Selon les spécialistes, Baudelaire a fortement été influencé par un… Tant de baisers donnés… Et Narcissa, la folle, Y a du bon temps pour les pirates Fit les cieux pour briller sur l’onde, Va, vient, luit et clame, Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune, TOP 10 des citations voyage en mer (de célébrités, de films ou d'internautes) et proverbes voyage en mer classés par auteur, thématique, nationalité et par culture. Chassant les blanches goélettes pampre et de jasmin, Des continents de vie et Tout se tait, fors les gardes Et le golfe mouvant Esther Granek (1927-2016)Je cours après mon ombre. Je me suis laissé emporté Par ta lumière céleste Qui m’a perdu dans mes pensées. Faudra d’abord nous attraper Comme ceux de l’éternité. Tout doux. Un bateau frêle comme un papillon de mai. Comme pour assoupir mon âme, La force que la mer exige du marin en fait rapidement un homme, et le changement de pays et de peuple affranchit son esprit de bien des sottises de clocher. bien aller jusqu’à vous. Murmure autour de ma nacelle, En voyage, on s’arrête, on descend de voiture ; Puis entre deux maisons on passe à l’aventure, Des chevaux, de la route et des fouets étourdi, L’oeil fatigué de voir et le corps engourdi.

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