Actif essentiellement dans les environs de Redon et Guérande, le général Pierre Louis du Cambout de Coislin commande ce département et dispose de 4 000 à 5 000 hommes sous ses ordres. Pendant la Révolution française et dans la période qui suivit, il y eut plusieurs soulèvements armés dans le département de Vendée : . Suzannet, grièvement blessé, meurt le lendemain[14]. Le 11 juin, le débarquement peut s'opérer, les Chouans reçoivent des Britanniques 3 000 fusils, des munitions ainsi qu'un canon et un obusier. Cependant en mars 1815 le nouveau régime est chassé par le retour de Napoléon de l'Île d'Elbe. Rapidement des bandes se formèrent en Ille-et-Vilaine. En Vendée, à la suite de l'échec de Napoléonville, Louis de La Rochejaquelein décide de retourner à Saint-Gilles-sur-Vie afin d'accueillir un nouveau débarquement d'armes. Découvrez sur Babelio.com livres et les auteurs sur le thème guerres de vendée. L'insurrection la plus sérieuse eut lieu dans le Morbihan où Louis de Sol de Grisolles prit le commandement du Morbihan et du Finistère, forte de 10 000 à 15 000 hommes. Pour les Vendéens, la situation était devenue très critique, aussi le général Lamarque décide d'envoyer de nouvelles propositions de paix. Les propositions de Lamarque sont : l’amnistie totale pour les soldats et les officiers vendéens, la libération des prisonniers et la promesse que les soldats originaires de la Vendée militaire ne pourront être déployés en dehors de leurs départements[16]. Les généraux Brayer et Estève avaient déjà pris position à Challans, Soullans et Saint-Christophe-du-Ligneron. Celui-ci est arrêté en janvier 1816 et jugé à Rennes par une commission présidée par Simon Canuel, un ancien général républicain qui avait commis des atrocités dans l'Ouest en 1793 et qui, lors des Cent-Jours, avait rallié les hommes qu'il avait autrefois combattus. Les généraux vendéens élisent alors Louis de La Rochejaquelein comme généralissime[7]. Des volontaires affluent de Saint-Malo et Lamballe, les paysans se soulèvent, la commune de Plumaugat se distingue en fournissant 60 hommes à elle seule. Informé de l'occupation de Ploërmel par les Chouans du Morbihan, du Boishamon envoie la quasi-totalité de ses forces, dirigées par Joseph du Boishamon et François de Trégomain, se mettre sous les ordres de Louis de Sol de Grisolles. Les Cent Jours dans l'Ouest. À Nantes, le 12 août, le général prussien Tielmann est conspué par plusieurs centaines de personnes royalistes comme bonapartistes[23]. Le premier rassemblement se fait dans la forêt de Montauban-de-Bretagne, de nombreux hommes s'y joignent ainisi que les collégiens de Saint-Méen mais les Chouans n'ont que 76 fusils. Batailles. L'affrontement est court, les fédérés paniquent et les Chouans remportent une première victoire. Le. Les généraux impériaux Delaborde et Travot n'ont que peu de troupes à opposer aux insurgés, presque tous les régiments de ligne étant appelés à combattre aux frontières. Cependant, Pontbriand et une dizaine de cavaliers s'aventurent à proximité de la ville où ils sont acclamés par la population, ils tentent alors d'entrer dans Saint-Brieuc où là encore la population les acclame, les Fédérés n'osent pas intervenir et la ville tombe au pouvoir des Royalistes. BIB ATLAS 19 - Généraux et chefs de la Vendée militaire et de la chouannerie ; suivis de la liste alphabétique des chefs de division, officiers, 1793, 1799, 1815, 1832 / dir. L'affrontement est court, les fédérés paniquent et les Chouans remportent une première victoire. Pour servir de complément et de supplément jusqu'à nos jours à l'ouvrage de Lemière. La monarchie est restaurée mais des groupes vendéens et chouans restent sous les armes. Suzannet commande armée du Marais, soit l'Ouest de la Vendée et le sud de la Loire-Inférieure, d’Autichamp commande l’armée d'Anjou, au Sud-Ouest du Maine-et-Loire, Auguste de La Rochejaquelein dirige l’armée du Haut-Poitou au nord des Deux-Sèvres, dans l'Est de la Vendée, Sapinaud prend la direction de l’armée du Centre. De son côté Julien Guillemot, colonel de la légion de Melrand, reçoit l'ordre de Sol de Grisolles de se porter dans ce département afin d'y soutenir l'insurrection. Suzannet, grièvement blessé, meurt le lendemain[14]. En réalité la lassitude commençait déjà à apparaître et les Vendéens, officiers comme soldats, n'étaient pas indifférents aux propositions de Fouché. La principale victime de la répression de l'Ouest fut le général Travot. Le 2 août, les anciennes troupes impériales se retirent de l'Ouest et l'armée prussienne entre en Anjou, les déclarations pacifiques du général-comte Tauentzien rassurent les Vendéens qui accueillent les Prussiens en libérateurs[21]. Dans l'Ouest les départements touchés furent ceux de la Vendée, de Maine-et-Loire, des Deux-Sèvres, de la Loire-Inférieure Le colonel de Pontbriand agit de même dans les Côtes-du-Nord, ses Chouans conservent un certain nombre de villes et de communes, tandis que les Prussiens n'occupent que l'arrondissement de Dinan[22]. Travot, de son côté, avait fait preuve d'humanité en Vendée ; néanmoins il est condamné à mort à l'issue du jugement, et la peine est confirmée en appel. Delaborde échappe aux recherches[29]. Aimé Picquet du Boisguy devait reprendre le commandement de l'Ille-et-Vilaine, mais il tomba malade et fut capturé à Paris peu avant son départ, le département bougea peu à la suite de son absence. La veille des soldats de ce détachement avaient maltraités des habitants de Montauban-de-Bretagne, ce qui provoqua la colère des royalistes. par Pierre Le Gall), Bibliographie de la Contre-Révolution dans les provinces de l’Ouest ou des guerres de la Vendée et de la chouannerie : 1793-1815-1832, Saint-Brieuc et Paris, Éd. L'armée régulière n'abandonna le drapeau et la cocarde tricolore, pour le remplacer par le blanc, que le 16 juillet, à la demande du maréchal Davout[20]. Le 11 juin, le débarquement peut s'opérer, les Chouans reçoivent des Britanniques 3 000 fusils, des munitions ainsi qu'un canon et un obusier. Mais Travot en est informé, et dans la nuit du 20 mai, il attaque avec 1 000 hommes, les 8 000 Vendéens de Louis de La Rochejaquelein et Suzannet à Aizenay. Finalement on s'en tient aux négociations, Fouché ordonne à d'Andigné de ne pas prendre les armes et les Prussiens se montrent par la suite plus prudents[25]. Les anciennes troupes impériales ne sont guère disposées à abandonner le drapeau et la cocarde tricolore. De son côté, Fouché tente d'ouvrir des négociations avec les Vendéens par l'intermédiaire de Malartic, un ancien chef chouan, et de Flavigny et La Béraudière[9]. Les guerres de Vendée, relecture et récupération. Une convention est finalement signée et les Prussiens s'engagent à ne pas entrer dans le département. Les Vendéens laissent passer une occasion unique de détruire la division de Travot, mais ils renoncent par manque d’enthousiasme et le général impérial peut ainsi regagner Napoléonville. L'insurrection la plus sérieuse eut lieu dans le Morbihan où Louis de Sol de Grisolles prit le commandement du Morbihan et du Finistère, forte de 10 000 à 15 000 hommes. Martin, Le Mans, 1988. It developed especially after 1793 in the northern area of the Loire, in Brittany principally, Normandy, Maine, and Anjou. Le combat reprend le lendemain, Grobon est grièvement blessé par un tireur, il devait mourir le 7 juin à Nantes, des suites de ses blessures. Malgré l'attaque, repoussée, d'une centaine de douaniers, 2 000 fusils et un million de cartouches sont débarqués du 14 au 16 mai. De son côté, à Nantes, le général Lamarque s'apprêtait à passer à l'attaque, il délaissa l'Anjou et redéploya ses troupes de manière à frapper la Vendée en premier. Puis Pontbriand rassemble environ 1 000 hommes et marche sur Dinan le 23 juillet. Les Chouans gagnent ensuite Sérent, puis Bignan, les 26 et 27 juin, le 28 l'Armée se rend à Baud, le 29 elle est à Pluvigner où elle est rejointe par plusieurs officiers de la maison du Roi. Cependant les bonapartistes ne réagissent pas et aucun combat ne se déroule sur le territoire de la division. Cependant les bonapartistes ne réagissent pas et aucun combat ne se déroule sur le territoire de la division. Le 20 juin, les deux armées se rencontrent sur la lande de Grand-Collet. Le 11 mai, à La Chapelle-Basse-Mer, Suzannet et d'Autichamp décident de lancer les hostilités pour le 15 mai. Dampierre, tome 2 : Le temps des victoires de Yves Swolfs ,Dampierre, tome 1 : L'aube noire de Yves Swolfs ,Dampierre, tome 3 : Les émissaires de Yves Swolfs ,Dampierre, tome 5 : Le cortège maudit de Yves Swolfs ,Dampierre, tome 6 : Le captif de Yves Swolfs , Pontbriand organise ses troupes en 8 cohortes et prend comme second le lieutenant-colonel de Chappedelaine. La Boëssière nomme ensuite Alexandre Courson de La Villevalio à la tête des volontaires royaux des Côtes-du-Nord, celui-ci occupe Quintin. Furieux, La Rochejaquelein destitue Suzannet, Sapinaud et d'Autichamps et nomme à leur place Du Chaffault, Durfort-Civrac et Duperrat. Mais l'intervention des autorités supérieures met fin à l'affaire[24]. Ceux-ci se retranchent dans une tour et les Chouans, dépourvus d'artillerie, ne peuvent prendre la ville en totalité. La garnison de Montfort-sur-Meu se porte alors sur Montauban-de-Bretagne, mais les Impériaux, arrivés à proximité de la ville, renoncent et s'en retournent. Mais rapidement la rumeur se propage que les Alliés ont l'intention de démembrer et de se partager la France, cette nouvelle provoque l'inquiétude et l'indignation des bonapartistes comme des royalistes. Droit d'auteur : les textes des articles sont disponibles sous. Quelques hommes sont tués, puis les ex-Impériaux, surpris, se rendent. Les généraux vendéens sont divisés, Auguste de La Rochejaquelein est opposé à la paix, en revanche Charles d'Autichamp y est favorable. Par la suite un convoi d'armes est envoyé à la division, qui en fait passer un autre dans les pays de Fougères et Vitré. Les dernières troupes chouannes et vendéennes furent également désarmées et remplacées par des troupes de ligne, ce qui ne fit pas sans protestations pour les premiers. Les 12 et 13 juin, Sapinaud décide de marcher avec le gros de l'armée sur la Vendée, une seconde force commandée par Auguste de La Rochejaquelein est envoyée prendre Thouars. Alexandre Courson de La Villevalio prit le commandement des Chouans des Côtes-du-Nord, dans les pays de Plancoët et Lamballe, le colonel Toussaint du Breil de Pontbriand reforma la division de Dinan. Il s'empare de Carhaix sans combattre le 30 juin. Le 20 juillet, le Prince de La Trémoille débarque à Saint-Malo qui se rallie au Roi. Le 2 juillet les Chouans sont à Locmariaquer où ils accueillent un troisième débarquement puis gagnent Grand-Champ, le lendemain, ils y sont attaqués par des douaniers commandés par le général Rousseau mais les Chouans mettent les Impériaux en déroute. Malgré quelques tensions avec les fédérés, la ville laisse entrer le prince, Pontbriand et une partie de ses hommes et le combat est évité[4]. marquis de Granges de Surgères. De fin mars à début avril, il parcourt l'arrondissement de Dinan, ainsi que les environs de Lamballe et Moncontour et recrute des volontaires. Le 11 mai, à La Chapelle-Basse-Mer, Suzannet et d'Autichamp décident de lancer les hostilités pour le 15 mai. Le 13 mars Louis XVIII charge le duc Louis VI Henri de Bourbon-Condé d'aller soulever les départements de l'Ouest, en particulier la Bretagne et la Vendée. Mais rapidement la rumeur se propage que les Alliés ont l'intention de démembrer et de se partager la France, cette nouvelle provoque l'inquiétude et l'indignation des bonapartistes comme des royalistes. 1. Une compagnie d'élite de 126 officiers est formée dont trois colonels : Plouër, Busnel et Sévère de La Bourdonnaye. Des heurts et des bagarres opposent quotidiennement des bandes chouannes ou d'anciens marins impériaux aux soldats prussiens, ces affrontements font des blessés mais on ne compte pas de mort à l'exception d'un officier prussien, tué en duel par le chevalier du Boberil, un officier chouan de l'armée de d'Andigné. Par la suite les Chouans de Boishamon sont désarmés, mais la division est reconvertie sous la Restauration, en garde nationale et compta jusqu'à 1 800 hommes[5]. La dernière modification de cette page a été faite le 20 décembre 2020 à 11:16. Suzannet commande armée du Marais, soit l'Ouest de la Vendée et le sud de la Loire-Inférieure, d’Autichamp commande l’armée d'Anjou, au Sud-Ouest du Maine-et-Loire, Auguste de La Rochejaquelein dirige l’armée du Haut-Poitou au nord des Deux-Sèvres, dans l'Est de la Vendée, Sapinaud prend la direction de l’armée du Centre. Utilisation. De son côté le colonel Jean Terrien organise sa division dans l'Ouest du département et rassemble sous ses ordres 2 443 hommes. Actif essentiellement dans les environs de Redon et Guérande, le général Pierre Louis du Cambout de Coislin commande ce département et dispose de 4 000 à 5 000 hommes sous ses ordres. Pour l'Ouest, une armée de 40 000 Prussiens commandée par le général de Borcke étaient en route. Après être passés par Malestroit, les Chouans, au nombre de 5 000, arrivent le 4 juin en vue de Redon, défendue par seulement 120 hommes. Le 9 mai, la frégate britannique L'Astrée, commandée par le capitaine Kitoë, arrive en vue des côtes vendéennes, avec à son bord Louis de La Rochejaquelein et la cargaison d'armes. Le 17 mai Napoléon Ier apprend le soulèvement de l’Ouest. En mai-juin 1815, l’Ouest français se soulève pour la quatrième fois, après 1793 et l’insurrection vendéenne, 1795 et la chouannerie, et l’automne 1799, une prise d’armes sans lendemain. Par la suite les Chouans de Boishamon sont désarmés, mais la division est reconvertie sous la Restauration, en garde nationale et compta jusqu'à 1 800 hommes[5]. Le 24 mars 1815,' résonnent' comme 4 une fanfare dans toute la France .les termes « enflammés de la proclamation de l'empereur . Les propositions de Lamarque sont : l’amnistie totale pour les soldats et les officiers vendéens, la libération des prisonniers et la promesse que les soldats originaires de la Vendée militaire ne pourront être déployés en dehors de leurs départements[16]. F. Guyon et H. Champion, 1904-1935, pagination multiple. Pontbriand se porte alors à leur rencontre, mais face à ses forces plus importantes, les Impériaux renoncent et se replient sur Dinan sans combattre. Ceux-ci escaladent les murailles et surprennent les 40 hommes de la garnison qui se rendent. continué par Yves Lemière, éd. Le 22 juillet, les Chouans défilaient à Vannes. Rapidement des bandes se formèrent en Ille-et-Vilaine. Dans la soirée, La Rochejaquelein, inquiet, fait cesser le débarquement et décide de gagner Saint-Jean-de-Monts. Elle est étroitement liée à la guerre de Vendée qui se déroula sur la rive gauche de la Loire, l'ensemble de … C'est peu, néanmoins La Rochejaquelein assure qu'un prochain débarquement sera bientôt effectué. Dans le Morbihan et les Côtes-du-Nord, ces conventions sont globalement respectées mais ailleurs la bonne entente ne dure pas. Le général Jean Maximilien Lamarque est condamné à l'exil ; il ne revient en France qu'en 1818. Les Chouans regagnent ensuite Rochefort-en-Terre. Le 28 mai, le gros de l'armée mené par le général Louis de Sol de Grisolles entre à Plaudren le 28 mai, puis de là gagne Sérent le 29, le 30 mai, les Chouans s'emparent de Ploërmel qui n'oppose qu'une faible résistance. Les chefs vendéens se rassemblent alors à La Tessoualle. Le général Brayer est condamné à mort mais se réfugie à Buenos Aires. À la suite de la chute définitive du Premier Empire, la France allait être occupée par 1 200 000 soldats de la coalition : Russes, Prussiens, Autrichiens et Britanniques. La paix signée, les troubles continuent. Ils se rendent ensuite à Elven, puis Questembert les 6 et 7 juillet et enfin le 8 à Muzillac. Plancoët est reprise, puis Broons, Matignon et Ploubalay sont occupées par les Chouans, enfin Lamballe et Moncontour sont prises sans résistance. Celui-ci est arrêté en janvier 1816 et jugé à Rennes par une commission présidée par Simon Canuel, un ancien général républicain qui avait commis des atrocités dans l'Ouest en 1793 et qui, lors des Cent-Jours, avait rallié les hommes qu'il avait autrefois combattus. Organisés tardivement, les Chouans de la Loire-Inférieure ne livrent que peu de combats. Les généraux suivent et écrivent à leur général en chef, lui conseillant de se replier. Le 14 mai, 800 Vendéens sous les ordres de Robert s'emparent de Saint-Jean et de Notre-Dame-de-Monts, où 50 gendarmes et douaniers sont désarmés, et surtout des ports de Croix-de-Vie et de Saint-Gilles-sur-Vie. Ils ont pour ordre de rester dans le Morbihan afin de bénéficier d'un débarquement d'armes et de munitions par les Britanniques dans ce département. La situation devient cependant critique, la frégate britannique L'Astrée a des difficultés à se maintenir près des côtes, les troupes manquent de vivres et les renforts envoyés par Napoléon ont déjà gagné l'Anjou. Les 9 et 10 juin, les généraux vendéens se réunissent à Rocheservière, il était urgent d'élire un nouveau généralissime, au terme du vote Sapinaud est élu à l’unanimité[12]. Les insurrections vendéennes et chouannes avaient immobilisé dans l'Ouest plus de 10 000 hommes de troupes de ligne, sans compter les conscrits qui avaient rejoint les insurgés[18]. De son côté Julien Guillemot, colonel de la légion de Melrand, reçoit l'ordre de Sol de Grisolles de se porter dans ce département afin d'y soutenir l'insurrection. La Rochejaquelein et Simon Canuel, ancien officier républicain devenu major-général dans l'armée vendéenne, apprennent les propositions de Fouché mais les refusent, néanmoins d'autres officiers, Suzannet notamment, n'y étaient pas insensibles. Plus d'informations sur ce vendeur | Contacter le vendeur 24. Puis, le 31 mai, ils gagnent Josselin où la population leur fait bon accueil. • Jean Barreau, La Chouannerie mayennaise sous la Convention et le Directoire, Imp. Une compagnie d'élite de 126 officiers est formée dont trois colonels : Plouër, Busnel et Sévère de La Bourdonnaye. Delaborde échappe aux recherches[29]. Cependant Travot ne se remit jamais véritablement de son emprisonnement, atteint de folie, il meurt le 7 janvier 1836[28]. Travot se retrouve dans une très mauvaise position face aux 5 000 soldats vendéens de Sapinaud et Suzannet, mais les deux généraux décident de ne pas combattre et reculent, de même D'Autichamps regagne l'Anjou avec ses hommes. Reynald Secher, docteur ès Lettres, est originaire de Loire-Atlantique et de Vendée. Le 6 juillet, 8 officiers de la légion de Dinan réalisent un coup d'éclat en s'emparant du Fort-la-Latte. — L’ouvrage a d’abord paru en fascicules. Afin de pacifier la contrée, l’Empereur crée l'armée de la Loire, composée des divisions des généraux Jean-Pierre Travot, Estève et Brayer, et met à sa tête le général Lamarque afin de remplacer Delaborde, tombé malade. Travot se retrouve dans une très mauvaise position face aux 5 000 soldats vendéens de Sapinaud et Suzannet, mais les deux généraux décident de ne pas combattre et reculent, de même D'Autichamps regagne l'Anjou avec ses hommes. Mais le 18 juin le général impérial Auguste Julien Bigarré entre à Ploërmel où il fait sa jonction avec les hommes du général Rousseau sorti de Vannes. Dans la soirée, La Rochejaquelein, inquiet, fait cesser le débarquement et décide de gagner Saint-Jean-de-Monts. Mais les Angevins et les Haut-Poitevins des généraux Suzannet, Sapinaud et d'Autichamp refusent de gagner le Bas-Poitou pour rejoindre La Rochejaquelein. Du moins, paradoxalement, jusqu'à la paix, le 3 ou le 13 juillet, après le retour de Louis XVIII, un détachement de 120 soldats et marins en route pour Brest et portant cocardes tricolores est attaqué par une centaine de Chouans commandés par du Boishamon à Saint-Jouan-de-l'Isle. Lors de l' insurrection de 1815, les Vendéens font 66 prisonniers lors de la guerre, lesquels sont relâchés contre la promesse de ne plus prendre les armes.

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